Les « médailles » de bravoure de Pip

Je me souviens comment nous nous sentions les premières semaines.
Je revois ma puce d’à peine trois ans qui avait de nombreuses autres complications et incapacités, y compris certaines qui rendaient la communication difficile. 
Je me souviens d’être complètement sous le choc et d’essayer d’apprendre à jouer le rôle de pancréas en plus de tout le reste. 
Je pleurais devant mon garde-manger en pensant à quel point ma vie était déjà limitée par la maladie cœliaque, et je devais maintenant apprendre à compter les glucides et à utiliser des compétences en mathématiques que j’étais heureuse d’avoir laissées à l’école primaire. 
Je me souviens que le médecin m’a appris ce qu’était l’hypoglycémie, qu’on appelle aussi une baisse du taux de sucre dans le sang.
J’étais désespérée alors que j’apprenais à en surveiller les symptômes, qui ont tendance à se manifester assez rapidement. On parle de choses comme la maladresse, la difficulté à parler, la confusion, la transpiration, les tremblements, la faiblesse, la perte de conscience, les crises d’épilepsie ou la mort.
Génial, n’est-ce pas? 
Ce n’est pas tout d’entendre ça. 
Il faut aussi savoir que le taux de sucre dans le sang peut augmenter et entraîner une acidocétose diabétique, et vérifier la présence de cétones.
Encore une fois, les conséquences peuvent être graves. 
Vous pouvez donc voir que le DT1 peut donner l’impression de dévaler des montagnes russes, surtout pour une enfant comme Pip, dont l’état est encore plus instable et qui doit composer avec d’autres facteurs qui jouent sur son petit corps. 
Beaucoup de personnes atteintes de DT1 comprennent leur corps et peuvent ressentir une baisse ou une hausse de leur glycémie. 
Mais lorsque Pip a été diagnostiquée, elle pouvait à peine parler et les symptômes typiques n’apparaissaient pas toujours lorsque sa glycémie décidait de faire des siennes. 
Je devais constamment piquer ses petites mains. 
Je dormais à peine parce que je craignais qu’il lui arrive quelque chose pendant la nuit. 
Je la surveillais 24 heures sur 24. 
Le stress et l’anxiété étaient en train de prendre le dessus sur ma vie. 
L’idée de l’envoyer à l’école et d’apprendre aux autres à prendre soin d’elle comme je le faisais n’était même pas une option. 
Jusqu’à ce que deux petits appareils entrent dans notre vie : Dexcom et Omnipod®. Nous aimons les appeler les « médailles de bravoure » de Pip. 
Elle dit, à qui veut bien l’entendre, qu’ils sont les « robots de maman » et qu’ils travaillent pour la protéger. 
Et c’est exactement ce qu’ils font. 
Ils m’ont permis de recommencer à respirer. 
Un des appareils se connecte à son petit corps et surveille sa glycémie en tout temps. 
Heureusement, l’appareil envoie une alarme si la glycémie est trop basse ou trop haute. 
Ça m’a permis de dormir à nouveau. C’est un appareil que je recommande à chaque nouveau parent dont l’enfant a reçu un diagnostic de DT1. 
L’autre appareil est une pompe sans tubulure qui administre de l’insuline en continu pendant trois jours complets. 
C’est parfait pour ses besoins sensoriels et mon besoin d’essayer de contrôler ses chiffres. 
Les deux appareils ont rendu notre parcours avec le DT1 plus facile. 
Ils m’ont également aidée à ne pas lâcher alors que j’étais sur le point de tout abandonner. 
Pip ne sera peut-être jamais capable de comprendre son corps et de savoir quand sa glycémie diminue ou augmente. 
Mais moi, en tant que mère (et en tant que pancréas), je peux gérer la situation beaucoup plus facilement grâce à des appareils comme Dexcom et Omnipod. 

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Le système Omnipod® n’est pas intégré au système de SGC Dexcom G6.

Insulet a rémunéré Tara à titre de créatrice de contenu et entretient une relation commerciale continue avec elle en tant qu’ambassadrice Pod commanditée, mais les points de vue exprimés dans ce témoignage sont exclusivement ceux de Tara.