Imaginez-vous

Pouvez-vous vous imaginer, en tant que parent, retenir votre souffle à chaque rendez-vous médical de votre enfant...

Parce que vous craignez de vous faire dire qu’il doit subir une autre intervention chirurgicale ou de recevoir, comme un coup de poing au visage, un nouveau diagnostic. 
C’est ce que j’ai vécu les premières années de la vie de ma fille. 

Maintenant, imaginez-vous que vous pensez depuis une ou deux semaines que quelque chose d’autre ne va pas avec votre fille, malgré les 20 opérations qu’elle a eues et plus d’incapacités que la plupart des gens connaîtront dans leur vie. 

Imaginez-vous que vous avez pensé que sa soif excessive pouvait être attribuée à ses médicaments pour la glande thyroïde. Que vous avez cru que votre rendez-vous serait simplement une discussion pour changer le dosage et peut-être, que si c’était vraiment nécessaire, qu’il faudrait encore une fois faire ces analyses sanguines tant redoutées.

Imaginez-vous ensuite voir ce regard que vous avez observé à maintes reprises chez le médecin de votre enfant lorsqu’il devait vous annoncer une mauvaise nouvelle. 
Imaginez-vous, si vous le pouvez, que le médecin met son bras autour de votre cou et vous explique que votre enfant souffre maintenant, en plus du reste, de diabète de type 1 (DT1). Imaginez-vous que vous perdez le contrôle, que vous baissez la tête en signe de défaite et que vous ressentez le poids des paroles du médecin et la lourdeur de tout ce que vous portez déjà. Imaginez-vous que vous essayez de contenir vos émotions, mais que vous ne pouvez pas arrêter de pleurer, que vous avez presque envie d’éclater de rire parce que vous pensez que tout cela doit être une blague. Un enfant ne peut pas avoir autant de problèmes. Imaginez-vous ces infirmières qui connaissent votre enfant depuis sa naissance, qui viennent vous serrer dans leurs bras, et vous qui comprenez un peu plus à quel point c’est grave. 

Imaginez-vous que vous devez apprendre à utiliser un stylo injecteur d’insuline et à piquer le doigt de votre enfant pour lui faire passer des tests de glycémie, et que vous devez trouver le courage de lui donner des injections d’insuline. Et pourtant, vous avez une peur bleue des aiguilles, au point où vous aviez l’habitude de perdre connaissance en les voyant. 

Imaginez-vous devoir apprendre quoi faire si votre enfant devient inconscient parce que sa glycémie est trop basse, ou composer avec un régime qui est compatible avec le diabète et la maladie cœliaque. 

Imaginez-vous que vous avez si peur de cette chose qui s’ajoute à celles qui pourraient potentiellement vous enlever votre enfant. 

Imaginez-vous vous sentir complètement dépassée sans jamais pouvoir reprendre votre souffle, finir par vous habituer à un diagnostic, à une maladie ou à un handicap pour ensuite apprendre quelque chose d’autre. 
 
Imaginez-vous que, deux semaines plus tard, vous devez envoyer votre enfant à la maternelle et que vous vous souvenez de ce que vous avez ressenti lorsque votre premier enfant est entré à l’école : la douleur de lâcher prise, mais aussi l’excitation et la joie. Imaginez-vous plutôt que vous étiez déjà paniquée avant de recevoir le diagnostic de DT1 et que vous devez maintenant travailler de toute urgence avec l’école sur le plan des soins médicaux pour votre fille. Que vous tentez de mettre les bouchées doubles pour assurer la sécurité de votre enfant face à cette maladie que vous essayez toujours de comprendre, même si vous vivez avec elle 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. 

Lorsque ma fille Pip a reçu un diagnostic de diabète de type 1 à l’âge de trois ans, j’ai été renversée. 
Cette maladie est unique. C’est 24 heures sur 24, sept jours sur sept, pas de pause, et chaque décision est importante. 
Nous étions aux prises avec ses soins, surtout à l’école avec ses IQM (injections quotidiennes multiples).

Mais imaginez-vous maintenant avoir un appareil qui rend tout, comme les injections d’insuline, tellement plus facile. 

Vous vous sentez en contrôle. 

De plus, l’appareil est sans tubulure, ce qui lui aurait causé des problèmes sensoriels. 

Cela vous donne plus de souplesse et de liberté, alors que vous traversez les hauts et les bas de ce parcours avec le DT1.

C’est ce qu’Omnipod® a fait pour nous. 

C’est pourquoi nous voulons être des ambassadeurs Pod nationaux. 

Pour découvrir la liberté offerte par le système de gestion de l’insuline Omnipod DASH®, inscrivez-vous à un webinaire gratuit sur l’abc du traitement au moyen du Pod ici.

Insulet a rémunéré Tara à titre de créatrice de contenu et entretient une relation commerciale continue avec elle en tant qu’ambassadrice Pod commanditée, mais les points de vue exprimés dans ce témoignage sont exclusivement ceux de Tara.